Etude de cas (2è partie)

par grufausorus

Dans mon zoo de bureau, y’a aussi Simon Jérémi. Il ne vomit pas quand il est content, mais il mange des trucs improbables à n’importe quelle heure de la journée (interrompu un après midi dans la cuisine avec un pot de rillettes entre les jambes), il boit son thé dans un cache pot (oui, un grand pot en plastique) et il a peur de tomber malade à cause des « vapeurs dégagées par le tampon encreur » (sic).

Au début, on a tous penché la tête sur le côté genre « oh, il est pas fut-fut mais il est gentil! ». Mais vite fait, on l’a juste trouvé ultra pénible et limite dangereux à raconter des conneries aux gens, oublier nos rendez vous en salle d’attente, casser des trucs (genre le mécanisme d’ouverture automatique de la porte qu’il avait interdiction formelle de toucher) et plus généralement, toujours trouver LA connerie à faire.

Il part dans un mois, finalement il va nous manquer.